Dimanche 24 Septembre - 15h - Grand Temple– Nîmes
Concert d'Ouverture - Les Voix Corses
Un quatuor vocal féminin dans un nouveau programme « SANTA », polyphonies corses sacrées a capella d’hier à aujourd’hui, depuis les pièces traditionnelles ancestrales de transmission orale ou issues de manuscrits (extraits de messes, chants franciscains...) jusqu’aux pièces contemporaines, créations inspirées du patrimoine sacré (versi, lamentis...) en latin et en Corse.
Quatre femmes pour rendre hommage aux femmes dans la tradition des chants sacrés qui rythmaient et rythment encore la vie des femmes et du peuple corse.
Avec
Eloïse Chadourne, Caroline Champy, Joëlle Gay au chant
Nadine Rossello, chant et direction artistique.
Dimanche Premier Octobre -15h Temple de St Cesaire
Jazz - CLEVELAND DONALD - TRIO ALSARO
«Concert Nouvelle Orléans»
Philippe Rosengoltz, clavier
Michel Altier, contrebasse
Michael Santanastasio, drums
Dimanche 8 octobre- 15 h Grand Temple de Nîmes
Quintet Bumbac
David Brossier, compositions, arrangements, violon d’amour
Ariane Cohen-Adad, violon, alto
Élodie Messmer, violon
Léonore Grollemund, violoncelle
Anita Pardo, contrebasse
Quintet Bumbac c’est une nouvelle vibration des mélodies des Balkans à travers la plume et la sensibilité de David Brossier. Maîtrisant les codes stylistiques, ses compositions s’inspirent du son authentique des tarafs roumains, des ensembles populaires de Bulgarie, de Grèce ou encore de Turquie comme matière première d’un travail de recherche et d’expérimentation sur le son des violons.
Les cinq instruments à cordes mêlent leurs timbres dans des boucles transcendantes, échafaudent des mosaïques rythmiques, unissent leurs sons pour ne former plus qu’un. Les contours des musiques traditionnelles sont revisités pour faire place à l’âme profonde du violon et à son jeu infini de sonorités. Étendue dans toute la tessiture d’un quintette à cordes, la voix de Quintet Bumbac résonne...
Samedi -- 14 Octobre -17h, Musée des Beaux-Arts - Nîmes
Conférence : Jean-Louis Meunier
“Musique et politique : le centenaire de la naissance de Richard Wagner”
Dimanche 15 octobre – 15 h Grand Temple de Nîmes
Facettes du Siècle d’Or espagnol
Musique, poésie, mysticisme
Jean-Charles Ablitzer, orgue
Mario Hacquard, baryton et récitant
Eva Godard, cornet à bouquin
Musiques de Jusepe Ximénez, Sebastián Aguilera de Heredia, Antonio de Cabezón, Pablo Bruna, Juan Cabanilles, Correa de Arauxo
Plain chant
Lectures de Cervantès : Don Quichotte, Numance
Saint Jean de la Croix : Poèmes mystiques
Sainte Thérèse d’Avila : Le Chemin de la Perfection
Le Siècle d’or, en espagnol Siglo de Oro, couvre en fait deux siècles d’une incroyable fertilité artistique.
Il commence en 1492 avec les découvertes de Christophe Colomb et va jusqu’à la mort du dramaturge Calderon en 1681.
Les peintres les plus illustres sont Le Greco, Velasquez, Zurbaran et Ribera. En musique, Vittoria, Cabezon, Morales, Correa de Arrauxo, Luis de Milan, Diego Ortiz peuvent rivaliser avec les compositeurs italiens de l’époque. En littérature, Cervantès (le Manchot de Lépante, surnommé ainsi car il avait perdu un bras dans cette bataille), Lope de Vega, Calderon, Tirso di Molina (qui a inventé le personnage de Don Juan) révolutionnent le théâtre - en même temps que Shakespeare en Angleterre - et ouvrent la voie à Corneille et à Molière.
Au XVIe siècle, l'Espagne, à la suite de la constitution de l'empire de Charles Quint, devient soudain la puissance prépondérante en Europe. Maîtresse d'un domaine colonial qui lui fournit en abondance l'or et l'argent, elle dépense ces richesses sur les champs de bataille. Paladins du catholicisme, l'empereur et son fils Philippe II s'efforcent d'arrêter les progrès du protestantisme en Allemagne, puis aux Pays-Bas et en France, tout en faisant face au danger turc en Méditerranée.
Notre concert sera donné à Nîmes le 15 octobre, jour de la fête de Sainte Thérèse d'Avila.
Samedi 21 octobre 16h30 Église St Paul - Nîmes
Les Orgues Automnales.....
GUILLAUME DE MACHAUT - JEHAN ALAIN - MAURICE DURUFLÉ - ELSA BARRAINE - CLARA SCHUMANN - ROBERT SCHUMANN - CÉSAR FRANCK
Marion André, orgue
Marion André est une musicienne française. Après avoir été élève aux Conservatoires National de Région de Paris et de St Maur en piano, orgue, violon, improvisation et écriture, elle se perfectionne au Conservatoire International de Musique de Paris, à la Royal Academy of Music de Londres, à l’université Sorbonne-Paris IV ainsi qu’au Conservatoire Royal de Musique de Bruxelles où elle obtient plusieurs Masters.
Elle y reçoit l’enseignement de Pascal Nemirovski, Pascal Godart, Emmanuel Mercier, Chantal Fraysse, Eichii Chijiwa, Bertrand Cervera ainsi que Bernard Foccroulle, Eric Lebrun, Susan Landale, Christian Ott et Pierre Pincemaille. 1er prix de l’Eric Thiman Competition et du concours Zonta Club de France, elle est activement soutenue par le Rotary Club.
Marion André devient professeur de piano assistant au King’s College de Londres avant d’obtenir son diplôme d’état en France. Lauréate de la fonction publique elle est nommée professeure de piano et cheffe d’orchestre du conservatoire de Clichy. Organiste titulaire de l’église Notre-Dame de Chauny, elle se produit en soliste pour de nombreux festivals en France et en Europe.
Dimanche 22 octobre 15h Oratoire de Nîmes
Récital Chant et Piano
Haendel, Verdi, Tchaïkovski, Dolukhanov, Kanachyan, Tigranian..
Luciné APROYAN, contralto
Née à Erevan, en Arménie, Luciné Aproyan Da Silva, entre en 1997 au Conservatoire National Supérieur d’Erevan, et y termine sa formation de chant, études de rôle, mise-en- scène, danse, musique de chambre, polyphonie, histoire de la musique... ainsi que : poésie, philosophie, psychologie (adulte/enfant) ; elle obtient le diplôme supérieur de Concertiste et de Professeur de chant. Durant ses études à l’Opéra-studio d’Erevan elle joue dans « Anouche » de Tigranian, « Eugène Onéguine » et « La Dame de Pique » de Tchaikovski, « La Khovantchina » de Moussorgski, « Le Nozze di Figaro » et « Don Giovanni » de Mozart.
En 2005 Luciné s’installe en France ; elle est admise à l’Ecole Normale de Musique de Paris où elle obtient la bourse Zaleski et les diplômes supérieurs d’Exécution, d’Art Lyrique et de Concertiste. Elle a été suivie par les grands noms de la scène lyrique française et internationale : Ana-Maria Miranda, Chantal
Bastide, Viorica Cortez, Anna Ringart, et Gabriel Bacquier..
Anne SVETOSLAVSKY, piano
Anne Svetoslavsky commence ses études musicales au Conservatoire à Rayonnement Départemental de Nîmes. Puis elle entre au CRR de Lyon où elle obtient son Diplôme d’études Musicales en piano. Elle s’initie ensuite à l’accompagnement au CRR de Montpellier. Ce domaine la passionne très vite, elle est sollicitée par différentes formations dans toute la région et notamment avec l’Opéra de Montpellier. Tout en continuant à se perfectionner, elle se produit en concerts en musique de chambre et avec des chanteurs lyriques dans de nombreux festivals régionaux. Désireuse de faire découvrir la musique de son temps, elle participe à des créations mondiales. Parallèlement, diplômée d’État comme professeur de piano, elle enseigne le piano et accompagne la classe de chant au Conservatoire à Rayonnement Intercommunal Maurice-André Alès Agglomération.
Samedi -- 28 Octobre -17h, Maison du Protestantisme - Nîmes
Conférence
« Don Juan»
Thierry MARTIN : Musicologue, Administrateur de l'Académie Cévenole, correspondant de l'Académie de Nîmes
Thierry Martin est né à Alès. Il a commencé ses études d’orgue dans la classe de Joseph Roucairol à Montpellier. En 1975, il est nommé professeur d’éducation musicale et de chant choral à l’institution Bellevue d’Alès, en même temps qu’organiste titulaire de la Cathédrale d’Alès. Il a été responsable diocésain de musique sacré et chroniqueur de rubriques pour les événements culturels pour le Midi Libre. Il a poursuivi ses études dans le cours supérieur d’orgue d’Edouard Souberbielle à l’Institut Catholique de Paris et dans le même temps, ses études de clavecin et musique ancienne avec Huguette Dreyfus à la Schola Cantorum de Paris. En 1985, il reçoit la Médaille du Citoyen d’honneur de la ville d’Alès .De 1989 à 1991, il publie deux CD distribués internationalement et consacrés à la littérature d’orgue des XVIIIe et XIXe siècles, le deuxième ayant été enregistré ici même . En 1991, il reçoit la Médaille du Citoyen d’honneur de la ville de Nîmes. Il a été élu à l’Académie de Nîmes en 1998. En 2006, il devient rédacteur de commentaires musicologiques pour la revue nationale Choristes.En 2007, le trompettiste Maurice André lui demande de rédiger et faire publier, en ouvrage grand public, son autobiographie « Le Soleil doit briller pour tout le monde » (Publibook). En 2008, il est élu à l’Académie cévenole. Il est actuellement président de l’association Orgues en Cévennes qui chaque année propose une Académie d’été autour des orgues du pays cévenol et alentours.
Dimanche 29 octobre - 15h -Temple de l'Oratoire - Nimes
Mozart - Opéra Don Giovanni
Marjorie MURRAY, soprano
Jennifer MICHEL, soprano
Georges DUME, piano
Jean-Baptiste COIN, basse
Guillaume DUSSAU, basse
Jean GOYETCHE, ténor
Yana BOUKOFF, mezzo-soprano
Marc SOUCHET, baryton
Le seul fait d’entendre le nom de Dom Juan est encore clivant à notre époque, comme il le fut au XVIIe siècle. Depuis lors, il n’en finit pas de susciter un questionnement que Molière, en filigrane, faisait transparaître dans le tempérament de cet homme, symbole de débauche et d’impiété. Qui était-il celui que les flammes de l’enfer vont consumer éternellement ? Devenu un mythe au cours des siècles suivants, il continue d’interroger les metteurs en scène du théâtre ou du lyrique.
Souvenons comment, en 1965, le réalisateur Marcel Bluwal produit un téléfilm avec Michel Piccoli (Dom Juan) et Claude Brasseur (Sganarelle) qui obtint un succès médiatique considérable et devint une référence culturelle en matière d’interprétation. A la faveur d’un entretien, Marcel Bluwal révélait son parti-pris : « J’ai tout basé sur une espèce de quadruple insurrection de Dom Juan contre son père : le père sous la forme du roi représentant tout état social, l’insurrection contre le père lui-même, et enfin le défi de la statut du Commandeur, incarnation plastique extraordinaire de tous les pères à la fois ; toutes ces révoltes sont menées au nom d’une affirmation de la liberté pour l’homme. »
Quant à Mozart, lorsqu’il crée son Don Giovanni, en 1787, sur un livret de Da Ponte, il met en scène un héros façonné comme un révolutionnaire, qui tient le haut de l’affiche, tout en reniant dieu et diable. Il revendique, par cet orgueil, le libre choix de l’homme moderne. Ce n’est pas une surprise puisque les Lumières du XVIIIe siècle vont commencer à revendiquer cette liberté, qui sera exacerbée avec la Révolution française qui proclamera la liberté de conscience. La dernière fois où j’ai assisté à une représentation de l’œuvre, c’était au théâtre d’Alès avec l’Ecurie et la Chambre du roi, sous la direction de Jean-Claude Malgoire. Une fin sublime où le séducteur rejoint l’abîme, emporté dans un rideau flamboyant aux sons fracassants des timbales. Attendons, avec envie, la vision musicale que l’Automne musical va nous en donner.
Thierry MARTIN, Membre correspondant de l’Académie de Nîmes Président de l’Académie Cévenole
Dimanche 5 novembre - 16h30 Grand Temple de Nîmes
Les Orgues Automnales..... BACH, BOËLY, LA TOMBELLE
Roger Goodwyn, orgue
Roger Goodwyn, originaire de Grande-Bretagne, est diplômé de piano, orgue et musicologie par l’Epsom Collège.
Il poursuit ses études d’orgue avec Alan Thurlow, organiste titulaire à la Cathédrale de Chichester, et David Hill, professeur de musique à St John’s College à l’Université de Cambridge. Complémentairement, Roger Goodwin s’inscrit à la classe de Jean Langlais, compositeur et ancien titulaire des grandes orgues à la basilique Sainte-Clotilde à Paris. Il termine ses études universitaires avec une maîtrise en sciences de la musique, acoustique, paléographie, composition, orchestration, et un premier prix d’orgue.
Organiste titulaire des grandes orgues de l’église de St Peter’s à St Albans (Angleterre) et de l’église Sainte Trinité à Walferdange (Grand-Duché de Luxembourg) où il réside, Roger Goodwin donne de nombreux concerts et récitals en Europe. Il a été également Directeur de l’Académie d’Eté organisée par l’association « Orgues en Cévennes ».
Dimanche 12 novembre – 15h Grand Temple- Nîmes
Quatuor Lucia
Unis par une complicité amicale et musicale, il se faç̧onne au gré des projets de concerts à thème, de collaborations avec des vidéastes, des danseurs ou des acteurs.
Cette formation atypique apporte un mélange de timbres et de couleurs peu rencontré jusqu’à ce jour.
Nourris d’influences individuelles variées et s’appuyant sur un répertoire qui leur est propre, ces musiciens vous emmèneront en terres inconnues, où musique classique, musique de films, musique de l’Est, musique de danses se croisent. Après s’être produits dans nombre d’endroits prestigieux pour présenter leur projet autour d’esthétiques hispaniques et argentines avec des œuvres de Granados, Morricone, Cosma, John William, de Falla, Piazzola et Nino Rota, ou bien un programme autour de la danse avec des œuvres de Brahms, Tchaïkovski, Chostakovitch, Vivaldi, ils reviennent avec un nouveau programme inspiré des grandes œuvres du répertoire classique. Nous voyagerons cette fois-ci au chevet de mélodies empruntées à Bizet, Rodrigo, Dvorak, Sarasate.
Samedi -- 18 Novembre -17h, Musée des Beaux-Arts - Nîmes
Conférence : Gabriel Audisio
“Loger les voyageurs à Nîmes au XVIe sièclee”
Dimanche 19 novembre - 15h Grand Temple, Nîmes
Les Accord Nouveaux
Thomas VINCENT, luth baroque
Pernelle MARZORATI, harpe triple
Les Accords Nouveaux est un jeune ensemble spécialisé dans la musique dite ancienne. Nous souhaitons mettre en lumière une musique trop peu connue : la musique galante, soulignent les musiciens.
Ce répertoire phare du XVIIIe siècle est bien plus qu’une transition entre le baroque et le classique, car il propose un univers musical propre à lui-même. Dans la lignée de notre démarche artistique, nous désirons mettre en exergue des compositeurs et des œuvres de cette période en arrangeant, comme cela se faisait dans la tradition, le répertoire pour des instruments historiques : le luth baroque et la harpe, poursuivent- ils. Le subtil timbre, que proposent le luth baroque et la harpe, n’est que très peu, voire jamais, mis en avant dans le paysage baroque, ce qui rend l’expérience sonore intéressante et originale, et sert à̀ ce style peu habituel.
Dimanche 26 Novembre - 15h - Grand Temple– Nîmes
La Camerata
Concertos pour Violons et Violoncelles
QUATUOR BOGEN :
Norbert De JESUS PIRES, David DUSSAU, Violons
Sébastien NUNEZ,Alto
Céline DUSSAUD, Violoncelle
Alain MOGLIA, violon
Florence DUME, violon
Etienne PÉCLARD, violoncelle
C’est en Mai 2000 que le Bogen quartet voit le jour, sous l’impulsion de Céline et David Dussaud.
Leur rencontre avec Norbert De Jesus Pires et Aurélien Nunez, avec qui ils vivent de multiples expériences musicales au sein d’orchestres du Languedoc, les amènent en 2009 à refonder le Bogen quartet sous sa forme actuelle.Cet ensemble, animé par un même désir musical, visite un répertoire éclectique allant de la musique baroque à la musique du XXème siècle. N’hésitant pas à adjoindre à leur programmation des pièces de toutes origines – tant en terme d’époque que d’éclectisme – le Bogen Quartet fédère autour de lui un large public, tant en France qu’à l’étranger.
La géométrie du Bogen Quartet peut s’étendre jusqu’au petit orchestre de chambre.
Florence DUME, Violon
Florence Dumé étudie le violon à l’ENM d’Aulnay-sous-Bois dans la classe de Jean Lener toù elle y obtient un premier Prix de violon en 1987 ainsi qu’un premier Prix de musique de chambre. En 1989 elle obtient un Prix d’Excellence au CNR de Paris. La même année elle est reçue violon solo à L’Orchestre de Bretagne.
Elle participe également en 1992 et 1993 aux concerts au sein de l’Orchestre des Jeunes de la Communauté́ Européenne. En 1998 elle entre à l’Orchestre Philharmonique de Monte Carlo. Depuis 1999, Florence Dumé est soliste à l’Orchestre de Picardie.
Alain MOGLIA ,violon
En près de quarante ans de carrière, il a presque tout joué et ce dans les salles les plus prestigieuses de la planète. Acteur central des deux grandes aven- tures musicales de la fin du XXe siècle, les musiques baroque et contemporaine, Alain Moglia a multiplié les expériences, du grand orchestre symphonique au quatuor à cordes, de l’opéra à̀ l’orchestre de chambre, avec une capacité d’adaptation et une curiosité qui semblent sans limites.
Etienne Péclard, violoncelle
Lauréat des concours internationaux de Vienne, Munich, Barcelone, il est, de 1977 à 1990, violoncelle solo de l’Orchestre Philharmonique de Radio France puis à l’Orchestre de Paris. Il est nommé Violoncelle solo de l’Orchestre National Bordeaux Aquitaine en 1990. Il est également membre du Quatuor à cordes de l’Orchestre National Bordeaux Aquitaine.
Dimanche 3 décembre 15h Cathédrale Saint-Castor -Nîmes
PUCCINI - La Messa di Gloria
Ensemble Instrumental Sinfonietta
Ensemble Polyphonique de Nîmes
Chœur San Gervasio de Capriate
Direction : Marie-Claude CHEVALIER
Dimanche 10 décembre 16h Cathédrale Saint Castor –Nîmes
Les Orgues Automnales.....CONCERT DE CLÔTURE
MOZART - MENDELSSOHN SAINT-SAËNS - FRANCK - STRAUSS
Oeuvres originales et transcriptions pour soprano, violon et orgue
Petra Ahlander, soprano
Cordelia Palm, violon
Luc Antonini, orgue
Dans le cadre de l’Automne Musical de Nîmes, partenariat entre Les Amis des Orgues de la Cathédrale de Nîmes et Musique Sacrée et Orgue en Avignon.
Le programme proposé permettra de faire entendre des œuvres originales et transcrites de Mozart à Richard Strauss pour un petit ensemble constitué d’une soprano, violon et orgue, en alternance avec des œuvres pour orgue solo, dans des répertoires complémentaires, propres à mettre particulièrement en valeur l’orgue de la Cathédrale de Nîmes pour ce programme. Bella mia fiamma, Resta o cara, Fantaisie en mi bémol majeur de Saint-Saëns en prélude à l’Ave verum de Dubois, à l’Ave Maria de Saint-Saëns et au Panis Angelicus de Franck, l’Esquisse n° 4 en ré bémol majeur de Schumann programmée entre Strauss et Mendelssohn.